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Auteur : Laurence Talatrach
Illustrateur : Titwane
Rayon : Livres jeunesse
Genre : roman jeunesse , 9 ans et plus
Lecteur cible : garçon
Ce livre est disponible en librairie
Toujours amusée à résoudre les mystères de l’histoire naturelle, Zoé entraine Alice et Clarence dans son expédition au muséum. En pleine nuit, ceux-ci se rendent au muséum d’histoire naturelle pour découvrir aller voir l’éléphant qui avait mal aux dents. Arrivés sur les lieux, ils découvrent qu’ils ne sont pas seuls. Pendant leur visite, un bruit de fracas de vitre se fait entendre. Ceux-ci accourent pour voir ce qui s’est passé. Il y a des morceaux de vitre partout et des animaux manquants. Les trois amis veulent sauver ces animaux, mais seront-ils en mesure de ne pas se faire prendre ? Enquêtes au muséum est une série de 6 romans pour la jeunesse dont En piste, Punch ! Ce dernier met de l’avant des événements historiques ayant réellement eu lieu. Ces animaux présents dans l’histoire se retrouvent naturellement dans certains musées en Europe. Leur histoire est également détaillée à la fin des pages du roman. Aurélie
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En Piste, Punch ! s’intéresse à la provenance des animaux naturalisés exposés dans les muséums d’histoire naturelle. Si certains sont aujourd’hui donnés par les zoos et les cirques lorsque les animaux meurent, de nombreux appartenaient aux ménageries qui présentaient animaux sauvages et exotiques au public au cours des siècles précédents. Parmi les animaux exotiques un temps exposés au public mentionnés figurent l’éléphant Chunee, l’éléphant Punch, du cirque Pinder et une girafe d’Abyssinie qui appartenait à la ménagerie de M. de Linages au XIXe siècle. L’enquête se réfère également à la ménagerie Pianet dont de très nombreux animaux ont été naturalisés et sont désormais exposés dans les muséums français. Les ménageries étaient les ancêtres des jardins zoologiques. Les premières ménageries étaient souvent des ménageries royales, comme celle de la Tour de Londres, ou plus tard celle de Versailles : dès le Moyen-Age, les rois y plaçaient tous les animaux sauvages qu’ils recevaient en cadeau et les animaux en captivité servaient fréquemment à refléter le pouvoir du souverain. Certaines d’entre elles furent ouvertes au public, moyennant un droit d’entrée. D’autres ménageries appartenaient à de riches aristocrates qui collectionnaient les animaux en signe de leur statut social (les bêtes sauvages coûtaient cher et leur entretien était tout aussi onéreux) ou parfois également pour parfaire leurs connaissances scientifiques. D’autres ménageries, enfin, souvent ambulantes , étaient à but commercial ; dès le XVIIIe siècle, leurs propriétaires, parmi lesquels étaient de nombreux forains, faisaient souvent parcourir de grandes distances aux animaux pour les montrer à un public qui ne pouvaient voir de telles créatures exotiques ou sauvages ailleurs. Les ménageries furent peu à peu remplacées par les jardins zoologiques, ou zoos, davantage tournés vers l’étude scientifique des animaux. Les cirques, quant à eux, proposèrent dès la fin du XIXe siècle de plus en plus de spectacles impliquant des animaux dressés, développant ainsi leurs propres ménageries.
Éditeur : Plume de carotte
Année d'édition : 2017
Nombre de pages : pages
ISBN : 9782366721225
Enquêtes au muséum : En piste, Punch! est disponible en librairie
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